MusiqueNom : Aoyama
Prénom : Namazu
Age : Incapable de se souvenir de sa date de naissance, Namazu se donne, d’après ses souvenirs, aux alentours de 300 ans.
Date de naissance : Bien que Namazu se donne 300 ans, sa date de naissance est cependant plus ancienne, on pourrait la situer vers la première moitié du 15e siècle. Plus précis ? Namazu est né le 22 février 1536.
Nationalité : Nationalité japonaise
Sexe : Masculin
Orientation sexuelle : Bisexuel
Groupe voulu : Professeurs. SVT, si possible.
Malgré ses 400 ans passés, Namazu est un jeune homme séduisant et de belle stature. D'environ un mètre 85 pour moins de 75 kilos, le jeune professeur sait s'entretenir. Ses cheveux laissés longs, lisses et soyeux lui tombent en cascade sur le visage et s'arrêtent au niveau des épaules, mis à part une longue queue de cheval. Il y fait énormément attention et passe chaque jour beaucoup de temps à les coiffer, toujours de la même façon. C'est le seul détail chez lui qui dénote qu'il fait relativement attention à son apparence. Car en dehors de sa coupe de cheveux et et dépit du fait que Namazu soit plutôt beau, il n'accorde aucun soin particulier à son allure ou à sa présentation, ce qui a le don d'énerver ses collègues. Le professeur peut sembler frêle en raison de sa maigreur, de sa peau pâle et de ses mouvements qui touchent parfois à la préciosité, mais sa musculature est étonnamment développée et s'il a du gras, ça doit être uniquement derrière les oreilles...
La chose la plus troublante dans le physique de Namazu reste son regard. Alors que son œil droit est d'une étincelante couleur rubis (certains élèves évoquent plutôt la couleur de sang et se permettent d'étranges spéculations) alors que le gauche est noir comme les profondeurs de la nuit. Le plus souvent plissés de façon sérieuse, ses yeux bridés et fins peuvent afficher toutes sortes d'émotions, brillant parfois d'une lueur maligne et amusée. Son œil gauche qui est terne et semble sans vie mis à part, Namazu a un visage des plus chaleureux, rasé de près, sur lequel fleurit un délicieux sourire aux lèvres douces et rosées, aux joues parfois rougissantes, le tout le faisant parfois passer pour plus jeune qui ne semble l’être.
Une bonne demi-douzaine de cicatrices ondulent sur son corps en mouvement, dont deux s’étalent sur presque toute la longueur de son dos jusqu’à sa nuque, cachées par des mèches de cheveux. Une autre s’étend sur toute la largeur de sa cuisse gauche, et les dernières sont réparties de ses hanches à son torse.
Son apparence étant une des dernières choses à l'intéresser, son style vestimentaire n’a rien de bien particulier. Namazu respecte donc les normes vestimentaires en vigueur et ne s’habille qu’en costume, cravate obligatoire, et ce tous les jours, dimanches compris, qu’il pleuve, vente, neige, etc...
Caractère général : Ce que l’on pourrait dire à propos de Namazu, c’est qu’il est très loin d’être un professeur des plus orthodoxes. Ses cours sont réputés dans toute la pension, Namazu gueule, se marre et vanne ses élèves, leur distribue des surnoms vaseux et les enfonce à coup de grandes tirades rocambolesques. Chaque jour il se plaint du diable (la direction) et de ses légions démoniaques (le personnel administratif) et passe son temps à critiquer tout ce qui lui passe sous le nez, ce qui laisse à penser qu’il fait son travail à contrecœur. Étouffant son entourage par sa constante bonne humeur mais surtout par son humour noir et son cynisme mauvais, qui ne sont pas vraiment au goût de certains, son attitude désinvolte lui vaut souvent des reproches.
En réalité, en plus d’être d’une extrême compétence dans son domaine, il prend son métier très à cœur et témoigne un réel intérêt pour ses élèves. Aussi sensible et émotif que dévoué, l’énorme dose de cynisme qu’il affiche n’est pour lui qu’une façon de masquer ses sentiments et de fuir la réalité lorsqu’elle devient trop dure. Namazu se tracasse beaucoup et pour de mauvaises raisons. Son goût de la perfection le rend exigeant pour lui-même comme pour les autres, tellement scrupuleux que la notion même de l’échec le dégoute, le poussant, en de très rares occasions, jusqu’à des formes d’autodestruction.
Intelligent, méticuleux et patient, Namazu réfléchit beaucoup et profondément. Il possède beaucoup de sagesse, et son intuition remarquable n’est pas en reste. Aussi fait-il souvent confiance à ses impressions, ses sensations, ses sympathies, alors qu'il tient peu compte des faits, de ses expériences et de celles des autres, des jugements et des conseils. Il semble parfois avoir un sixième sens, ce qui le rend d'excellent conseil, qu’il ne se retiendra jamais de dispenser, quitte à faire voir une horrible vérité en face.
Il fait tout son possible pour être seul le moins souvent. La solitude est quelque chose qu’il déteste au plus haut point, et la compagnie, qu’elle soit bonne ou mauvaise, qu’elle lui apporte la sérénité ou le conflit, est pour lui, toujours bénéfique et lui évite d’avoir le cafard. S’il déteste l’avouer, y compris à lui-même, il a constamment besoin de quelqu’un à qui parler.
Charmeur de nature, il a tendance à beaucoup plaire, et se laisse parfois attendrir par un sourire ou des mots doux. De ce fait, il tombe facilement amoureux, en partie à cause de son besoin de compagnie, mais son caractère entraine souvent des catastrophes et provoque des chagrins d’amour...
Goûts : Mis à part ceux qui se pratiquent en équipe, Namazu aime les sports, principalement la randonnée et l’escalade en milieu sauvage, le badminton et le golf. Il apprécie beaucoup les jeux de réflexion, et se débrouille plutôt bien pour ce qui est des échecs et du go. S’il adore les pâtisseries étrangères (à tel point qu’il en a toujours sur lui), Namazu reste un fan inconditionné de la cuisine japonaise. Il se vante d’ailleurs de pouvoir faire les meilleurs sushis de l’île et de préparer le thé mieux que quiconque. Oui, Namazu aime cuisiner, même s’il n’invite presque jamais personne chez lui, et comme une parfaite femme au foyer, il accorde une attention toute particulière au ménage et à la décoration. Ses deux bonzais parfaitement entretenus sont l’une de ses plus grandes fiertés. La pratique de tous ces hobbys consiste principalement à lui occuper l’esprit pour l'empêcher de tomber en dépression. Concernant ses goûts à proprement parler, il adore le thé, le saké (même s’il tient très mal à l’alcool) et les sirops sucrés. Terroriser ses élèves est l’une de ses activités favorites, de même que corriger leurs copies en les truffant de critiques désagréables (peut-être que, des fois, les notes sont légèrement inférieures à ce qu’elles devraient être, mais bon....) et leur poser des questions auxquelles ils ne peuvent pas répondre. Mais malgré tout, il a un constant besoin de compagnie et adore avoir quelqu’un à qui parler, même si c’est pour s’engueuler.
Pour ce qui est des choses qu’il déteste, il y a en premier lieu : s’ennuyer tout seul, puis le café, internet, les voitures, les punks et leur musique, les rockeurs et leur musique, les rappeurs et leur musique, les métalleux et leur musique, le sport à la télé, les émissions culturelles à la télé, la télé-réalité, les régimes, la mal-bouffe, les costumes des super-héros et les super-héros qui sont dedans, les chiens, les comédies musicales et la liste pourrait continuer probablement éternellement et s’étalerait sur tellement de pages qu’elle pourrait recouvrir la terre entière de papier.
Chez les Shinigami, certains se souviennent de l’un deux, nommé Namazu Aoyama. Sage et noble, il incarnait l’idéal Shinigami, respecté par ses pairs, mais mû par une très forte personnalité. A cause de cela, il devint vite exaspérant aux yeux des autres et malgré ses talents indiscutables (mis à part sa piètre maitrise magique élémentaire), son aveuglement borné, sa profonde confiance en lui et son caractère marginal firent de lui un "électron libre", qui entra souvent en conflit, non seulement ses collègues, mais aussi avec ses supérieurs.
Né en 1536, donc, il devint en moins de 70 ans un Shinigami exemplaire, malgré son coté rebelle et indépendant. Souvent il s’en allait fricoter avec la gente féminine humaine, ou disparaissait purement et simplement pendant plusieurs jours, peu enclin à obéir aux ordres. Contrairement à beaucoup de ses frères qui empruntaient un chemin tâché de sang et de mort, il développa une philosophie basée sur le pacifisme et la non-violence. Détestant pour autant se sentir inutile, il préféra se consacrer au soin des autres... A l’époque, il n’avait pas encore totalement succombé à ce cynisme insupportable qui le caractérise si bien aujourd’hui, mais déjà, le Shinigami éprouvait un fort ressentiment envers les autres, ceux qui commençaient à le regarder de haut, le méprisaient pour sa faiblesse d’esprit et son talent gâché.
Finalement, arriva ce qui devait arriver. Rien de sanglant, rien de spectaculaire. Namazu disparut, sans laisser de traces, sans explications. Il se volatilisa. Le coup était préparé depuis bien longtemps, et nul ne put le suivre. C’était en 1461. Namazu se mêla aux humains, et malgré l’anomalie de ses yeux rouges et son corps qui ne prenait de rides, s’intégra sans trop de difficultés à eux. Obligé de vivre comme un vagabond, il changeait d’endroit tous les cinq ou six ans et recommençait chaque fois une nouvelle vie autre part, souvent en tant que médecin. Ce petit jeu dura une bonne trentaine d’années, avant que Namazu ne décide de s’installer définitivement aux alentours d’Edo (Ancienne Tokyo). Pourquoi ? Seule une femme peut changer le comportement d’un homme aussi radicalement. Elle s’appelait Hitoki Yayoi. Bien qu’elle se doutât de la raison pour laquelle le corps de son amour ne vieillissait pas, elle n’en tint jamais compte, alors que le sien dépérissait lentement. Durant cette période, Namazu en perdit le fil du temps. Sa vie ne semblait plus avoir été si longue et dépourvue de sens, et il se persuada d’avoir trouvé le bonheur qu’il avait si ardemment désiré.
Ce bonheur éphémère prit fin lors de l’été 1524, lorsque la guerre vint une fois de plus ravager le Japon, apportant avec elle mort, famine et épidémies. Hitoki succomba à cette dernière, sans que son mari puisse faire quoi que ce soit pour elle. Deux jours durant il resta prostré devant le corps de sa défunte épouse, à pleurer toutes les larmes de son corps, avant que la puanteur de la décomposition ne le pousse à l’enterrer. Pour la toute dernière fois, il usa de ses pouvoirs de Shinigami pour l’envoyer au paradis, et lorsqu’il réalisa que sa vie n’avait plus aucun sens, et que plus jamais il ne serait heureux, son œil gauche perdit tout son éclat jusqu’à en devenir noir.
L’existence de Namazu se poursuivit néanmoins, ce dernier refusant de se résoudre au suicide. Et par monts et par vaux, il erra pendant presque 90 ans, bien qu’il ne quittât jamais le Japon pour autant. Tant bien que mal, il essayait de revenir à sa vie d’avant, et y parvint plus ou moins, malgré le fait que le souvenir de sa bien aimée le hantait jour et nuit. Ce sombre chapitre de sa vie ne se finirait jamais...
Mais une vie aussi longue permet de panser les plus terribles blessures, lentement, même les plus douloureuses. Et celle de Namazu se poursuivit, inévitable. Le temps passant, il lui fallut redoubler de prudence pour camoufler sa nature véritable, prudence qui se traduisit par une vie d’ermite itinérant... Qu’en de rares occasions il n’utilisa sa lance, uniquement pour se défendre, principalement contre des brigands. Plus fort, plus rapide et entrainé à toute une vie de combats, il surclassait aisément n’importe quel combattant, et malgré la répugnance qu’il portait à la violence, entrainer le corps et esprit de jeunes gens lui paraissait un assez bonne idée. C’est donc à partir de 1718 qu’il commença un tour des dôjos du pays, peu importe leur camp, pour apporter des enseignements bien mérités et qui, à son sens, se perdaient dans les brumes du temps. Et aussi pour se libérer l’esprit par la violence, se libérer des tourments qui le hantaient. Ceux qu’il malmenait, il les soignait avec bienveillance. Il restait quelques mois en place, un an au plus, puis disparaissait aussi soudainement qu’il était apparu.
Il recommença, peu à peu, à s’ouvrir aux gens, à côtoyer l’amour; à sourire.
Plus de 90 années passèrent, où sa vie s’écoula telle un fleuve tranquille, années sans rien de particulier, durant lesquelles Namazu eut tout le temps pour se familiariser avec des techniques de médecine de plus en plus modernes, avec cette société qui évoluait de plus en plus vite, ces valeurs avec lesquelles il avait toujours vécu et qui disparaissaient, et ces nouvelles armes. C’est durant cette longue période que Namazu commença à développer une certaine antipathie pour à peu près tout ce qui vivait sur terre et acquit une petite dose de cynisme.
1834 fut l’année de sa première rencontre avec des créatures qui n’étaient, comme lui, pas vraiment humaines qui, par un quelconque procédé magique, avaient perçu sa présence. Un petit gang forcé de se cacher aux yeux du reste du monde, et qui, comme lui, organisait des combats pour passer le temps. Morts-vivants, vampires et autres armes humaines, créatures parmi les plus dangereuses et les plus haïes par le monde, il les rejoignit malgré son appréhension. Il n’était plus seul.
Ne participant que rarement à leurs combats d’une violence inouïe, le Shinigami se faisait cependant un plaisir de panser leurs plaies et pendant cette période, ce sentiment oppressant qui le poussait toujours à fuir, disparut. Parmi eux, il rencontra une succube, Akane Asakura, avec laquelle il passa plusieurs années, bien qu’il ne sut jamais si son amour pour elle était véritable ou bien s’il était seulement tombé sous son charme, mais toujours est-il qu’il fut heureux. Méfiant, mais heureux.
En 1894, lorsque son groupe, Akane comprise, massacrèrent sans aucune pitié un groupe de soldats venus enquêter, se créa un fossé entre eux qui ne se referma jamais. Namazu se fit plus distant et parlait de moins en moins. Déchiré entre son dégout et l’envie de rester parmi les seuls semblables qu’il connaissait, il les quitta cependant en 1901, pour une fois de plus, se retrouver seul.
Et c’est en 1925 qu’il s’engagea dans l’armée impériale japonaise en tant que médecin, et fut engagé dans le conflit contre la Chine qui dura de 1931 jusqu’en 1945. Cette guerre le toucha bien plus durement que toutes celles auxquelles il avait déjà assisté, bien sûr par sa violence extrême, mais aussi par son coté impitoyable. Dès 1933, il fut réprimandé pour avoir soigné un blessé chinois, et fut définitivement mis aux arrêts en 1936 pour avoir recommencé, et ce à de nombreuses reprises. Sensé être emprisonné pendant presque 10 ans, en attendant que la guerre se termine, il fut contraint de s’évader au bout de sept ans seulement, lorsque la question d’un corps qui ne vieillissait pas fit surface. Ses capacités aidant fortement, ca ne fut pas un problème pour lui, et il ne tua que les soldats qui se mettaient en travers de sa route avec un peu trop de force.
Sa fuite l’amena non loin d’Hiroshima, d’où il put admirer l’explosion qui dévasta tout à des kilomètres à la ronde. Lui qui croyait avoir assisté à toutes les formes de violence, jusqu’aux plus cruelles; ce matin-là l’anéantit. En tant qu’évadé, son nom disparut des registres, sous les énormes piles de dossiers des victimes des deux bombes nucléaires.
Namazu refit surface quelques années plus tard à Tokyo et crapahuta quelques années dans diverses universités, là où il put parfaire ses connaissances et bien que ses compétences eussent été à leur maximum, il n’obtint son diplôme de médecin qu’en 1976 (ses notes en anglais étant catastrophiques).
Diplôme en poche, il ne savait toujours pas quoi faire pour passer le temps, oublier son sombra passé, et décida malgré lui d’ouvrir un cabinet médical, mais encore une fois, son apparence qui ne variait jamais lui fit fermer boutique relativement vite. N’ayant strictement plus rien à faire de sa vie, il retourna sur les bancs de l’université, où il obtint (cette fois rapidement) une agrégation de professeur en 1983.
Il végéta quelques années, sans trop savoir quoi faire, vivotant de divers boulots ingrats qui l’emmerdaient profondément. En fait, cette vie l’emmerdait profondément. C’est donc avec amertume qu’il partit à la recherche de son ancien groupe, désireux de savoir ce qu’ils étaient devenus. Le Shinigami ne retrouva qu’un seul membre, Yamato Shinkuro, devenu mendiant. Le reste du gang s’était entretué. Entendant cela, Namazu secoua tristement la tête et tourna les talons, le regard plus vide que jamais...
Trois ans après cette dernière rencontre, en 2007, donc, pris dans un élan de déprime, il prit la décision de quitter une bonne fois pour toutes ce pays maudit, et de parcourir le monde jusqu’à en trouver la mort, lorsqu’il reçut la lettre d’une île dont il n’avait jamais entendu parler, même dans ses plus lointains souvenirs. Une école pour jeunes créatures, mutants et autres saletés, dont il serait le professeur. L’emploi semblait trop beau pour être vrai, mais il embarqua de suite vers cette mystérieuse île, curieux de savoir ce qui l’y attendait...
Classe : Shinigami
Stats :
Type : Eau
Anomalies : Paralysie, Silence, Tétanie, Décadence, Inversion
Force : 55 Dommages physiques : 290-345
Défense : 55 Défense physique : 250
Magie : 30 Dommages magiques : 150-180
Résistance : 45 Défense magique : 215
Vitalité : 70 Points de vie : 4900
Dextérité : 95
Description du pouvoir : Maitrise de l’eau. Techniquement, et j’insiste sur le "techniquement", Namazu est capable de modeler et contrôler l’eau selon sa volonté. Seulement, c’est pas trop ça, et en pratique, il ne sait pas faire grand-chose d’utile en combat. Rien, en fait. Donc, ses aptitudes magiques, car il en a quand même, lui servent surtout à lancer les sorts de base des Shinigami et à invoquer des armes (Si vous vous demandiez d’où les Shinigami sortent leurs énormes faux, ben c’est pas de leurs poches, parce que oui, ils les invoquent...)
Atouts :
"Combattant né" : Entrainé et équilibré, Namazu est plus ou moins capable de combattre quelle que soit la situation.
"Surprise, t’es mort!" : Précision et réflexes de psychopathe.
Faiblesses :
"Faible d’esprit" : Namazu combat toujours à contrecœur et ne porte de coups décisifs que lorsque sa vie se trouve vraiment menacée.
"Naïveté" : Si son adversaire semble abandonner le combat, Namazu perd toute combativité et baisse sa garde, ce qui explique certaines de ses cicatrices... Ces faiblesses ne fonctionnent pas lors de matchs d’entrainement, où Namazu ne montre aucune pitié (Dans les limites du raisonnable, tout de même...)
"Démerde-toi" : Ne fonctionne qu’en groupe. Si Namazu estime que le combat ne le regarde plus...il se barre purement et simplement.
Techniques :
"Jésus est parmi vous" : Permet de marcher sur l’eau. Utile pour prendre la fuite, principalement... Demande absolument toute sa concentration à Namazu, il ne peut donc pas combattre et marcher sur l’eau.
"Yari jutsu" : Combat à la lance, directement invoquée. Namazu excelle dans ce domaine.
Ou avez vous connu le forum ? : Ou ? Ben, j’étais chez moi x) Bon, d’accord, un ami me l’a montré, donc me voila
Comment le trouvez vous ? : Grâce à internet. Généralement je le trouve facilement, il est dans mes favoris x) Roh, si on peu plus rigoler... Graphisme sublime, ambiance conviviale, niveau rp qui semble vraiment bon. Que demander de plus ? ^^
Quel est votre niveau de RP, en général ? : Objectivement, je dirais : merveilleux. Vive moi, ajouterais-je \o/ Non, on va dire moyen-bon, je suppose >.>
Code de présentation :
[Un prof bi qui fait de l'svt >8D MOUHAHAHA. le coquin X'D || VALIDEEEE ♥ ♥ ♥ by Kiki]