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 De quoi faire fuir les clients ! [PV Iku et Ayumi]

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2 participants
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Saki Takahashi

Saki Takahashi


Féminin Nombre de messages : 13
Age : 65
Localisation : Dans ma boutique, dans mon jardin, dans mon onsen...
Loisirs : Fabriquer des potions, acheter des kimonos, tricoter des châles... Oh, et je surveille mes plants de marijuana, mais ne le répétez pas !
Amour ? : Ma petite boutique et mon pavillon... Oh, vous voulez dire un homme ? C'est que je n'ai plus l'âge, mon chou !
Date d'inscription : 19/04/2010

Feuille de personnage
Classe: Hanami
Particularités/pouvoirs: Contrôle des rafflésies/Fabrication de potions
Sang: Demi-elfe

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MessageSujet: De quoi faire fuir les clients ! [PV Iku et Ayumi]   De quoi faire fuir les clients ! [PV Iku et Ayumi] Icon_minitimeSam 1 Mai - 20:41

Saki s’était levée de bon matin, alors que sa chambre s’illuminait des rayons oranges et paresseux du soleil levant. Après avoir lu quelques pages de son livre de chevet, une biographie de Frank Sinatra, elle s’était levée et plongée dans un bon bain chaud parfumé aux feuilles de menthe. Elle lava les moindres recoins de son corps et enduisit sa chevelure éclatante de propreté d’huile d’olive, puis enfila un kimono bleu saphir brodé en fils d’argent de rafflésies et se vernis les ongles de mains et de pieds de la même couleur, en alternant un ongle bleu et un ongle argent. Elle enfila ses getas, se coiffa d’un chapeau relativement normal et sortit dans la rue ensomeillée. Elle rajusta son châle incarnat et azur sur ses épaules pour contrer la fraîcheur matinal et se dirigea d’un bon pas vers sa boutique, malgré la distance qui séprarait Matahira et le Fuyumi du Sud.

Arrivée à bon port, de bonne humeur comme toujours mais complètement essouflée, elle fouilla dans les manches de son kimono et sortit triomphalement la clé de sa boutique. Elle crocheta dans la serrure capricieuse quelques instants, entra et afficha le panneau « Ouvert ! N’hésitez pas, entrez ! » à sa porte vitrée. Elle déposa son chapeau et son châle sur un crochet au mur, puis épousseta quelques bocaux en chantonnant « I concentrate on you », changeant la chanson de Sinatra en baragouin à cause de son accent japonais « à pourfendre un dragon », comme elle se plaisait à le dire. Quelques minutes plus tard, satisfaite de son ménage, elle contourna le comptoir, ouvrit une porte marquée « Arrière-boutique et laboratoire. Accès déconseillé aux clients. » et pénétra dans son antre secret.

Elle alluma l’antique lampe murale en fer forgé, éclairant l’arrière-boutique la plus étrange du monde. De la taille d’une salle de classe, les murs crème étaient couverts en partie de feuilles épinglées, de recettes, de mémos, de factures et de Post-It. L’autre partie était couverte, elle, d’étagères en bois taché par diverses substances. Lesdites étagères étaient chargées de bocaux, de fioles, de bouteilles et autres récipients divers qui contenaient des choses plus diverses encore. Une table carrelée occupait un coin de la pièce ; sur elle s’entassait un véritable matériel d’alchimiste : alambics, fioles, éprouvettes et tubes à essai, becher et j’en passe et des meilleures.

Saki claqua des doigts et une rafflésie poussa au sol avant de se détacher et de venir flotter devant la table. La vieille potionologiqte s’assit sur ce siège improvisé sans cesser de fredonner :


« Whenever skies look grey to me and trouble begins to brew,
Whenever the winter winds become too strang,
I concentrate on you. »

Ce faisant, elle versait dans un bouteille le contenu d’un flacon marqué Fe2+ et d’un autre marqué « Acide chlorydrique », avant de reboucher le récipient avec un bouchon en caoutchouc. Elle jeta des herbes dans un bol, ajouta quelques gouttes d’un liquide rouge sombre et donna quelques coups de pilon. Puis elle gratta une allumette et se préparait à enflammer le mélange quand…

« When fortune cries « Nay, nay ! » to me,
And peaople declare « You’re through »,
Whenever the blues become my only songs,
I concentrate… »

À ce moment, le bouchon de la bouteille sauta. Le dihydrogène produit par la mélange Fe2+/Acide entra en contact avec la flamme, produisant un aboiement* retentissant accompagné d’une épaisse fumée blanche qui coula paresseusement vers le sol. Surprise, Saki sursauta et heurta une étagère. Les bocaux cliquetèrent et un flacon emplit d’une poudre fushia atterit sur la tête de la Hanami avant de rebondir dans le bol ou il déversa son contenu. Le mélange de la poudre et et des herbes provoqua une épaisse fumée rose.

Et c’est bien sûr à ce moment que tintinnabula le mobile suspendu au-dessus de la porte, annonçant que des clients venaient d’arriver. Saki, toussotant, ouvrit rapidement une fenêtre, puis sortit de l’arrière-boutique accompagnée du brouillard fuschia, ce qui donnait l’impression qu’elle avait surgie de nulle part dans un nuage de fumée comme les sorcières des contes de fées. Elle ventila son visage de sa main en plissant les yeux et en souriant :

« Kof, kof… Bonjour, bonjour ! Ne vous inquiétez pas, c’est juste une petite exposion… Un problème de dosage et de réaction gazeuse. Que puis-je faire pour vous ? »

Plissant les yeux, elle reconnut une des deux adolescentes qui la regardaient, elles, avec des yeux écarquillés. Ravie, la Hanami prit Iku L. Samuro dans ses bras en s’exclamant :

« Mon Iku des bois, c’est toi ! Quelle bonne surprise, vraiment ! Oh, et tu as ammenée une amie avec toi ! Enchantée, jeune fille, je suis Saki Takahashi, alias Nazonokusa-sobo. Bienvenue, bienvenue ! Désirez-vous une bonne tasse de thé, mes papillons ? Peut-être un café ou un chocolat ? »

*En chimie, on appelle aboiement le bruit provoqué par le contact du dihydrogène avec une flamme. En fait, le bruit ressemble plus à un "UIPE !" qu'à un aboiement de chien, mais bon.
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Iku L. Samuro
Fondatrice tyrannique/ Tsundere androïde sadique, et folle amoureuse d'une bête rouge :3
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Iku L. Samuro


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Amour ? : Lloyd, Lloyd Irving ! Ça va faire deux ans... *effusion de cœurs*
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Classe: Arme Humaine (non officiel : Menakata)
Particularités/pouvoirs: Armes sortant des poignets, omoplates, épaules, genoux, coudes, dos, et bassin. La deuxième et finale forme de son corps, annoncée par un changement de couleur des pupilles, fait apparaître une sorte d'arc très bizarre directement tracé à partir de son bras (flèches dans son canon), c'est cette arme qui accumule tous les coups (force physique ou magique) et permet de les dévier. Sang régénérateur : son sang produit de nouvelles cellules et referme une plaie PHYSIQUE dans la 10aine de minutes qui suit quand elle est immobile, mais la plaie reste à l'intérieur du corps. régénère les petits organes comme yeux ou os TRES RAREMENT. [NON MAITRISE]
Sang: Humain amélioré

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MessageSujet: Re: De quoi faire fuir les clients ! [PV Iku et Ayumi]   De quoi faire fuir les clients ! [PV Iku et Ayumi] Icon_minitimeSam 15 Mai - 23:43

[Hiii post horrible, j’ai voulu partir dans un truc long et appliqué au début pour finir sur un truc super soft alors c’est pas du tout équilibré et ça fait peur x__x je ferais mieux la prochaine fois. C’est court en plus.]

Avant d’apercevoir que son stock était complètement vide, Iku n’avait pas eut l’éventuelle idée de se rendre à la boutique de potionologie de Matahira. En fait, depuis qu’elle avait rencontré la gérante de cette boutique, elle avait été emprise d’un certain sentiment de recul, et d’une légère antipathie. Ce n’était pas vraiment du dégoût, tout au contraire, mais cela pouvait s’en approcher. Car cette chère Nazonokusa-sobo, ou Saki Takahashi, était une femme un peu, voire trop anticonformiste… Et dont cette singularité était au bord de l’exubérance, au point que cela donnait des malaises à cette jeune femme de dix sept ans qui n’avait rien demandé… A part quelques potions. Certes, Iku était loin d’être écoeurée par cette vieille femme, elle pouvait même éprouver envers elle une légère sympathie ?... Mais comme elle disait, cette gérante n’était pas du genre à mettre sous toutes les humeurs.

Mais aujourd’hui, la jeune femme était d’assez bonne humeur. Assez pour pouvoir supporter l’odeur de viande séchée qui se dégageait de la boutique. Disons qu’elle n’avait jamais vraiment apprécié la viande, de toutes sortes. Mais même si son rythme alimentaire s’approchait plus de celui d’une végétarienne que d’une humaine normale, elle ne rechignait jamais trop devant un bon poulet… Bref.

Iku s’était levée à l’aube, aujourd’hui, et cela, bien sûr, involontairement. La veille, elle avait accompagné Lloyd, et s’était couchée tôt, aux alentours de vingt et une heure. Comme toujours, elle ne pu pas dormir plus de neuf heures, et se réveilla d’elle-même aux alentours de six heures du matin. Une fois dégagée des bras de son amant et levée du lit, elle se dressait, sur toute la hauteur de son corps à moitié nu. Puis, après s’être étirée difficilement, faisant craquer presque chaque articulation, elle se dirigeait vers la salle de bain, entrait directement sous la douche, et laissait l’eau brûlante couler sur sa peau… En espérant parfois que son homme se réveille également et aille la rejoindre, pour ne plus se sentir seule. C’était le même rituel chaque matin. Et après sa douche, qui s’éternisait souvent jusqu’à trois bons quarts d’heure, elle se séchait les cheveux, se coiffait, se maquillait, elle prenait soin d’elle, quoi. Ce jour, elle avait décidé de se vêtir simplement. Elle avait donc passé sa tenue habituelle, un kimono court, qu’elle enfilait par-dessus un leggin bleu nuit et une sorte de soutien, qui partait de sous sa poitrine pour finir sur ses mains, recouvertes d’une paire de longues mitaines. A vrai dire, son look était particulier, dans le genre de la kunoichi. A première vue, on se trompait souvent sur son identité. On avait plutôt l’habitude de la prendre pour une petite femme ninja. Il est vrai que la demoiselle s’intéressait beaucoup à l’art du ninjutsu, au point de s’être inscrite au club, à son arrivée sur l’île. Club qu’elle avait d’ailleurs quitté au bout de quelques mois, ne s’y plaisant pas trop, à cause de son âge un peu trop bas comparé à celui des autres membres. Mais afin de ne pas devenir une NEET, elle avait rejoint le club de musique juste après. Club dont elle fait actuellement toujours partie, en tant que guitariste et chanteuse… Et dont elle est fière.
Elle avait toujours aimé tuer le temps. En ne se hâtant pas, comme ce matin, elle avait déjà avancé de trois heures sur sa journée. Il était désormais neuf heures, et elle était lavée, épilée, maquillée, coiffée, habillée, et parfumée. Elle soupira. Lloyd dormait toujours à poings fermés, comme un bébé. Qu’allait-elle faire désormais ? Elle s’accroupit lentement devant le lit et croisa les bras sur le matelas, fixant son cher et tendre. Elle pensa à se rendormir, mais c’était peine perdue, elle n’y arriverait pas, et ce même en prenant des somnifères. Puis elle pensa à aller s’entraîner. Elle n’en avait pas forcément envie… Faire un petit tour en ville ? Du shopping ? Imata était juste au pied de sa chambre, elle n’allait pas prendre plus d’une petite demi-heure, et à une heure pareille, elle n’avait aucune envie de se promener dehors. Il devait faire un peu trop froid. Car sur Mahora, les matins printaniers avaient toujours été frais. Et puis… Pour acheter quoi ? Elle n’avait pas beaucoup d’argent sur elle. Les vêtements, ainsi que les CD, jeux, étaient alors à bannir. Cependant, elle pouvait peut-être se permettre quelques gâteries ? Ou alors… Elle pouvait renouveler son stock de potions ?

C’est après avoir déposer un tendre baiser sur la joue de son petit ami, que Iku se redressa légèrement, et, restant agenouillée, s’avança difficilement jusqu’à son sac de provisions et d’entraînement. C’était un sac en toile, de taille moyenne, et de couleur beige clair. Ce sac, elle l’avait acheté dans un bazar armurier non loin de la grande Place d’Imata. C’était un simple sac de voyage. Un sac assez prisé de la population Mahorienne, grâce à sa fonction principale pour le moins particulière : Le sac était gravé d’un sort d’amplification qui rendait donc sa capacité de stockage illimitée. Chaque habitant de l’île, ou presque, devait en posséder un.
En attendant, elle ouvrit ce sac, plongea un bras dedans, et le retrouva vide.
Elle repensa à Nazonokusa-sobo, cette vieille femme au nom de pokémon. Si Iku allait lui rendre visite, juste pour prendre un thé, elle pourrait peut-être bénéficier d’une petite réduction sur les potions qu’elle désirait acheter. De plus, prendre un thé chez elle ne la déplaisait guère… Disons qu’elle savait bien y faire.

Quelques minutes après, elle était déjà sortie dans la rue. La douce température de l’air annonçait une belle matinée, et les premiers rayons du soleil accompagnés d’une légère brise détendait la jeune femme. Aujourd’hui, le temps était agréable, comme toute journée de Mai. C’est avec un petit sac sur le dos, une cigarette au bord des lèvres (la première de la journée !) et un casque sur les oreilles que l’adolescente déambulait dans les rues d’Imata, se dirigeant vers la gare la plus proche. Au même moment, la chanson « Come On Get Higher » de Matt Nathanson sonnait dans ses tympans, comme une douce clochette.


If I could walk on water,
If I could tell you what’s next.


Ouais, bon, les paroles de cette chanson n’avaient aucun rapport avec la situation actuelle. Encore heureux, elle ne les comprenaient pas, et se contentait de les marmonner silencieusement, marchant en cadence avec le tempo de la mélodie. Une fois arrivée à la gare, elle sauta habilement par-dessus les tourniquets, venant tout juste de remarquer qu’elle avait oublié son pass direct pour pouvoir composter. Tant pis… Elle le faisait tout le temps, et elle ne s’était jamais faite prendre. Sauf une fois. Mais aussi, c’était à l’heure de pointe des contrôleurs. A cette heure par contre, la gare était quasiment déserte, tout le monde devait soit dormir, soit travailler, soit être en cours de rattrapage, pour un samedi, c’était fréquent.
Sauf qu’une personne était là. Iku, en l’apercevant, allait ressentir une certaine joie et un certain enthousiasme, comme à chaque fois. Cette personne était une hybride blonde, aux oreilles de chats, aux yeux noisettes et à la carrure voluptueuse. Cela ne pouvait être autre que Ayumi Saotome, qu’elle considérait comme, tout d’abord une très bonne amie, mais aussi une confidente, et à laquelle elle disait tout sur tout. Elle l’avait rencontrée quelques années auparavant, en l’accueillant à l’internat. Cette Neko était arrivée sur l’île à une époque ou la prolifération des Kemonomimi n’était pas encore passée, et Iku, idiote comme elle est, avait cru que ses attributs félins étaient des… Cosplays. Cette dernière, aux premiers abords, avait prit la blonde pour une demoiselle froide et anarchique, qui souhaitait le mal des races de sang humain ou de demi-sang, et n’avait foi que pour les elfes. Après avoir un peu plus parlé avec Ayumi, elle avait découvert chez elle une nouvelle femme, possédant une personnalité attachante et enjouée. Disons qu’elle cachait plutôt bien son jeu, que cela soit volontaire ou involontaire.

C’est en levant lentement la tête que son premier sourire de la journée se dessina sur ses lèvres.

« AYUMIIII !! Je ne m’attendais PAS-DU-TOUT à te voir ici !! »

Après une embrassade (dans le sens du câlin -_- mdr) et une paire de bises échangée avec sa sœur de cœur, Iku reprit la parole, toute enthousiaste :

« Figure toi que j’allais renouveler mon stock de potions… La boutique dans laquelle je vais généralement est spécialisée alors les produits sont meilleurs. Ca te dit de venir avec moi ?... Génial !! Ouais !! Suis moi ! »


Quelques dizaines de minutes plus tard, les deux jeunes filles étaient arrivées devant la boutique de Takahashi-san. Iku, après avoir ouvert la porte, haussa d’abord un sourcil et cligna des yeux, intriguée. De la boutique s’émanait une drôle de fumée rose fushia qui lui donnait la nausée. Elle balaya la salle du regard, essayant en vain de trouver la provenance de ce gaz étrange, et ses yeux se posèrent et s’arrêtèrent sur l’entrée de l’arrière boutique, qui s’ouvrit à la volée. L’apparition de la Hanami s’était faite dans un nouveau nuage de fumée, laissant les deux adolescentes complètement interloquées de voir un « spectacle » autant « féerique » dans une simple boutique de potionologie… Et aussitôt, l’arme humaine se retrouva avec une folle sur les bras, qui n’avait pas trouvé d’autre surnom que « MON IKU DES BOIS » pour la nommer aujourd’hui…

« Mon Iku des bois, c’est toi ! Quelle bonne surprise, vraiment ! Oh, et tu as amenée une amie avec toi ! Enchantée, jeune fille, je suis Saki Takahashi, alias Nazonokusa-sobo. Bienvenue, bienvenue ! Désirez-vous une bonne tasse de thé, mes papillons ? Peut-être un café ou un chocolat ? »

Pourtant pas très rassurée, elle ébaucha un petit sourire et fit une légère courbette en avant pour la saluer comme il se doit. Puis elle reprit la parole en toussotant légèrement, le gaz lui montant à la tête… Peut-être était-il toxique ?

« Iku… Des bois… Hein ? ..... Bon-Bonjour Takahashi-san. Je vois que vous êtes toujours aussi enjouée et pleine d’énergie, comme d’habitude, et qu’avec vos bois et vos papillons, vous semblez d’une humeur forestière. Ahem, ça sera avec plaisir, mais… C’est une belle journée aujourd’hui… Alors que diriez-vous de… *KOF KOF* … Prendre le thé DEHORS ?! Ce gaz me monte à la tête, et j’ai l’impression que je vais m’évanouir. »

Discrètement, dans son dos, elle en profita pour écrire un texto à l’intention de son amant.
« Réveille toi, banana-head (≧▽≦) !! Je suis embarquée chez une folle qui va me manger tout cru si je reste pas deux ou trois heures de plus chez elle (ι´Д`)ノ, alors je risque pas de manger avec toi ce midi (^_^;). Bisous mon cœur, je t’aime (^ε^)♪ »
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